30 juin 2007
1484 : c'est l'été, il est temps de me raser le pubis
J’ai encore une fois laissé filer le temps et je me remets à mon journal avant d’avoir tout oublié. La semaine, la dernière semaine avant les vacances, les grandes, a passé en accéléré, sans doute à cause des multiples occupations professionnelles.
De mardi, je ne retiens rien sinon ce que j’en ai déjà écrit dans ma dernière entrée. Un avant-dernier conseil de classe, une soirée dont je ne me rappelle rien sinon que je n’ai pas dû faire grand-chose.
De mercredi, j’ai plus de souvenirs car elle a été bien remplie, entre une avant-dernière réunion remarquablement mal organisée (limite faute professionnelle) par des services toujours aussi incompétent. Malheureusement, j’imagine qu’il n’y aura aucun retour et qu’ils continueront à travailler avec toujours autant d’inefficacité. L’après-midi, je fonce à allure raisonnable vers la cité où vis Galatzara que je dois rencontrer l’après-midi même et qui a la bonté de m’héberger. Je m’acquitte de la visite qui était la cause de mon déplacement avec un professionnalisme éblouissant puis me rend au centre ville, en pèlerinage dans des troquets que j’avais déjà visités en d’autres occasions (et notamment un rassemblement de la RDJ en deux mille trois. J’y bois des Perrier, des cafés et même un ou deux demis.
Puis, je rejoins Galatzara dans le troquet où habituellement elle fait pilier de comptoir même si pour l’heure elle est assise à une table, à siroter une tisane de houblon. Retrouvailles, blabla, j’en passe et des meilleures et voilà que c’est déjà l’heure de fermeture de l’estaminet. Nous nous rendons ensuite à une pizzeria où nous nous sustentons d’une excellente pizza (ben oui, dans une pizzeria on peut manger des pizzas) avant de rejoindre son home sweet home pour une nuit dont je ne révèlerai rien, si ce n’est que :
- La chatte de Galatzara est très poilue mais elle perd ses poils. Ca m’a fait penser que c’était l’été et qu’il était temps de me raser le pubis.
- La chatte de Galatzara aime bien qu’on la tapote doucement, voire plus vigoureusement. C’était la première chatte masochiste que je rencontrais.
- J’ai vu de mes yeux vu la mousse à raser de son entrée « La bonne étoile ». Malheureusement, je n’ai pas eu la présence d’esprit de la photographier. Je n’ai pas non plus photographié sa chatte donc inutile de me demander des photos.
- Je devrais arrêter de jouer de la guitare car je suis très mauvais.
- Je suis nul en quizz musical
Je ne dirai rien de plus, sinon que j’ai passé une excellente soirée et reçu un accueil royal. Couché tard, réveil matinal et même pas mal de tête. Presque la pêche. Presque. Rapide petit déjeuner avant de dire au revoir et merci à Galatzara (je suis super poli) et me voilà reparti dans les nuages levants pour une ultime visite, qui durera à tout casser un quart d’heure avant de m’en retourner chez moi. L’après-midi est consacrée à une petite sieste avant de foncer au dernier conseil de classe de l’année scolaire. Le soir, je dors tôt parce que malgré la sieste, je suis crevé. J’ai quand même le temps de faire un peu de msn et de décrocher mon premier rendez-vous grâce au chercheur d’amies adultes pour dimanche soir (sauf empêchement de dernière minute)
Vendredi, dernière réunion de l’année mais avec le trajet, elle m’occupe la journée. Le soir, apéro d’avant répétition chez moi, puis répétition jusqu’à assez tard (deux heures) où nous passons plus de temps à taper la discute qu’à jouer (pas très efficace mais c’est bien de prendre le temps de discuter) avant d’aller me coucher, rincé.
Ce matin, réveil matinal après quatre heures de sommeil à peine. Autant dire que je prévois une sieste. Indispensable si je ne veux pas trop faire la loque au concert où j’ai prévu d’aller ce soir.
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