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JAM
1 mai 2007

1456 : 15h

Quitte à être devant la télévision, j’ai regardé un reportage, un de plus, sur l’entrée dans la légion étrangère. J’ai bien aimé bien que le sujet soit un peu éculé. Quel dommage que je ne sois plus assez jeune pour m’engager, cela m’aurait plu. Je me demande si je suis crédible quand j’écris ça ? Bientôt quinze heures. J’écris depuis ce matin huit heures (la mise en ligne est un peu décalée dans le temps) Sept heures donc devant mon clavier à pondre par intermittence quelques lignes mais une obsession de tous les instants : que vais-je donc pouvoir raconter pour ma prochaine entrée ? D’accord, je rabâche mais ce n’est pas si simple. Ce n’est pas comme si j’avais une imagination débordante et que les sujets s’imposaient à moi. Non, je dois les extirper aux forceps et même qu’il n’y a rien à extirper et que cela fait vachement mal à la tête. Heureusement, un sujet vient à l’instant même de jaillir ce qui va m’éviter de raconter rien du tout : la météo. Depuis pas mal de temps, j’avais vraiment l’impression que l’été était arrivé. Ca, c’est du sujet ! Et hier, mon bel été d’avant l’heure a semblé compromis. Il faisait presque froid et la pluie est tombée. Comme je me fiche des ploucs paysans, j’ai maudit la pluie et le froid et j’ai souhaité le retour de la chaleur et du beau temps. Hélas ! Quand je me levais ce matin, le temps n’avait pas évolué. Un ciel gris, maussade, une température pour ainsi dire hivernale (par rapport aux températures de ces derniers jours car en réalité, il ne faisait pas si froid que cela) Bref, pas la joie, même si cela correspondait bien à un temps de rentrée. Heureusement, cela n’a pas duré et depuis une ou deux heures, le soleil a déchiré les nuages, dardé ses rayons sur l’opacité de mes fenêtres sales et réchauffé mon corps glacé (érection devant tant de presque poésie, sauf « fenêtres sales » qui n’est pas terrible comme image poétique) Mieux, les oiseaux se sont remis à chanter. Ah non, pas mieux, c’est bien deux minutes un piaf qui chante mais ça lasse très vite. Mais laissons-là les oiseaux pour nous réjouir : le beau temps et la chaleur sont de retour, vive le trou dans l’ozone et l’effet de serre, vive la pollution qui détruit la terre en réchauffant mes os. J’avais déjà prévenu que j’écrivais n’importe quoi. Je n’ai pas vraiment choisi la bonne date pour ce mini marathon d’écriture, il n’y a personne et le net est désespérément vide. Il ne s’y passe rien, rien qui puisse alimenter de manière intéressante mes entrées. Si personne ne met de bonne volonté, je ne risque pas d’être motivé pour poursuivre. J’attends un signe. En attendant, je me roule une clope et vais mater un nouvel épisode (en espérant qu’il soit fini de télécharger)
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Commentaires
R
Quel dommage d'avoir été absente, hier !!!!!!!!
M
Merci Sacha mais c'est beaucoup plus facile pour moi cette fois-ci, je n'écris pas en permanence mais seulement le temps d'avoir une entrée qui ressemble à peu près à quelque chose. Ca me prend à tout casser dix minutes par heure.
S
Je l'ai fait une fois, c'était tellement chiant que jamais plus je m'y recollerai ! Mais c'est bien de bosser comme un forçat le 1er mai, date de glande généralisée et obligatoire, tu fais rebelle, là.
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