1457 : 16h

Alors là encore, j’ai failli être en retard pour la mise en ligne. D’ailleurs, il ne me reste qu’à peine dix minutes. Cela dit, comme je n’ai rien de spécial à raconter, ce n’est pas vraiment le problème. Nouvel épisode, toujours bien. Les oiseaux chantent toujours et il fait beau. Mon pied de tomate s’épanouit. Tout comme je le faisais avec mon avocatier, du temps de sa splendeur, je le surveille de coin de l’œil, soucieux de la moindre de ses faiblesses, attentif à son besoin en eau. Cela n’a pas toujours été le cas et j’ai failli à plusieurs reprises le perdre, comme la fois où il est resté trois jours sans que je ne l’arrose (je l’avais oublié) mais dorénavant, je fais attention et cela ne devrait donc plus se reproduire, à moins qu’une obligation ne me tienne éloigné de lui trop longtemps. Je crois que je vais en rester là pour les mises à jour d’heure en heure, mais je ne m’interdis pas de revenir plus tard dans la soirée. Je fais une pause. Mon texte est bien court cette fois-ci, c’est autant de gagné pour vous qui lisez, votre ennui durera moins longtemps. Ne me remerciez pas, je ne l’ai pas fait exprès. C’est la faute de cette maudite horloge qui tourne bien trop vite, à peine une heure est-elle entamée qu’elle est déjà terminée.

Comments

[abe]

"Mon pied de tomate s’épanouit."

mon pauvre, t'as encore la goutte ?!!!

[Leen]

Ah non! tu abandonnes déjà ? Tu as dit toutes les heures, je reviens dans une heure pour te lire. Le marathon, ça devait être en 2003?