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JAM
9 mai 2005

Comme un lundi

Comme je suis grand amateur de la série, je ne pouvais rater hier la rediffusion de « Barnaby » sur France 3. J’ai retrouvé avec plaisir, la lenteur de l’action, l’accumulation de meurtres et surtout les magnifiques villages qui constituent le cadre de la série. L’autre avantage, c’est qu’elle prépare parfaitement à la sieste. Je n’ai donc pu faire autre chose que de dormir de quinze à dix-sept heures. Ce qui ne m’a nullement empêché de m’endormir devant le film avec Bruce Willis, que j’ai vainement tenté de regarder.

J’ai regardé dans le livre sur l’interprétation des rêves, la signification de celui que j’ai fait avant-hier. La fille symbolise la petite-fille qui est en moi (merde, ça commence mal) C’est aussi le symbole de la sensibilité (c’est déjà mieux) Plus la fille est jeune et plus la sensibilité est importante. Donc mon rêve, je passe les autres symboles, signifie que je suis torturé du côté de ma sensibilité et que je devrais être plus serein et jouer. J’ai un problème à résoudre qui concerne ma sensibilité. Bon, d’accord.

J’ai une envie folle de retourner travailler. Après ces quelques jours passés à ne rien faire, revoir mes élèves me démange et j’ai toutes les peines du monde à ne pas sauter dans ma voiture et aller immédiatement au boulot. Je me retiens car je me dis que mes élèves ne seront pas encore arrivés et que je risque de me déplacer pour rien. Je me demande comment je vais faire avec toutes ces vacances qui arrivent, quand je n’aurai plus la possibilité d’aller travailler. Satanés vacances !

C’était pour rire. J’ai horreur de l’idée d’avoir à passer quelques heures au boulot. Je n’ai rien préparé, je n’ai aucune motivation, je m’ennuie déjà. Misère !

Cé m’a prêté quelques livres : « Le courage d’être soi » de Jacques Salomé, « Si je m’écoutais… je m’entendrais » de Jacques Salomé et Sylvie Galland, « Se libérer du temps généalogique » d’Elisabeth Horowitz et Pascale Reynaud. Cela faisait un moment que je n’avais pas lu des livres de ce genre. Le dernier cité me permettra d’en lire pour la première fois un consacré à la généalogie. Le sous-titre est : « Comment déprogrammer son destin par la psychogénéalogie » Personnellement, je trouve les termes un peu pompeux et l’objectif très ambitieux mais bon, je vais essayer de lire.

J’ai plus envie de lire et de glander que d’aller travailler, est-ce normal ?

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Commentaires
C
d'ailleurs lisez mon blog si vous savez pas quoi faire
C
d'ailleurs lisez mon blog si vous savez pas quoi faire
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