26 octobre 2006
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Scotché à l’ordinateur depuis ce matin, je cherche désespérément le souffle de volonté qui me fera enfin commencer à travailler. Pour l’instant, c’est le fiasco, je n’ai strictement rien fait. Ah si ! J’ai tenté de téléphoner à la personne qui s’occupe de mon cas. Elle vient de recevoir le titre envié de responsable de stage de bibi. Je te connais Ô, lectrice adorée, tu aimerais bien être à la place de cette chanceuse, mais il ne tient qu’à toi de me proposer des stages intéressants pour que j’accoure. Manque de pot pour elle, elle ne travaillait pas aujourd’hui et n’a donc pu profiter de l’honneur de m’avoir au bout du fil.
Je peine à travailler en ce moment certes, mais j’ai pu constater qu’en fait, mine de rien, sans avoir l’air d’y toucher, que j’étais un bourreau de travail. Surprenant mais exacte vérité, je travaille plus que la majorité de mes collègues. Tout ça parce que je suis un peu maniaque sur les bords et que je déteste le travail bâclé. Du coup j’en fais des tonnes, des tonnes en trop d’ailleurs car je m’attarde bien au-delà du raisonnable sur la forme, alors que pour le fond, je reste très sage. Je ferais bien d’inverser la tendance si je voulais gagner en efficacité. Mais le veux-je vraiment ? Pas sûr.
Bon sang, c’est horrible, je culpabilise de ne pas travailler.
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