Mercredi

Levé à cinq heures trente, je suis abonné. Le matin, cours avec la classe pénible. Cours pénible en conséquence. Toujours aussi peu d’efforts, de travail et de motivation, à part pour quelques-uns qui ont pris conscience que l’examen est au retour des vacances de Pâques. L’après-midi, boulot au lycée. La purge (collègue) a passé la journée au lycée mais n’a pas approché des ateliers. Toujours à roder du côté de l’administration, à discuter d’on ne sait quoi avec les uns et les autres, plutôt ceux qu’elle estime qu’ils ont une certaine influence. Je l’ai eu sur le dos en fin d’après-midi (hélas) quand elle s’est aperçue que je n’étais pas parti et que je travaillais sur place. Très désagréable comme situation. J’ai eu envie de l’envoyer bouler, mais j’ai pris sur moi, je ne tiens pas à ce que la situation se détériore un peu plus. Je dois prendre en compte le fait qu’elle risque de rester ma collègue pendant plusieurs années encore. Deuxième question (après celle d’il y a quelques jours) d’une collègue sur l’ambiance qu’il règne entre les profs d’atelier. Ca commence à se voir. J’ai dans l’idée que cela va craquer d’ici peu. Ce ne sera peut-être pas un mal. Je n’aime pas les situations malsaines.