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JAM
29 décembre 2004

Réf. : « Le bonheur, ce n'est pas nécessairement

Réf. : « Le bonheur, ce n'est pas nécessairement confortable » de Thomas d'Ansembourg

p.135
Quatrième piège : gentils garçons, gentilles filles, nous n'avons pas appris à dire ni à entendre non.

Habitués à croire que nous étions aimés pour ce que nous faisions et non pas pour ce que nous étions, nous disons oui même si nous pensons non et faisons beaucoup de choses pour acheter l'affection ou la reconnaissance.

Nous n'avons pas appris à dire non et encore moins à l'exprimer sans agressivité et avec assurance.

Nous acceptons de faire par devoir et non pas par élan, pour être gentil mais à contrecœur

P136
Apprendre à dire non de façon affirmative et non agressive

Entendre le besoin de l'autre, sans se croire obligé de le satisfaire immédiatement

Nous pouvons, certes, contribuer à sa satisfaction par plaisir, par élan, par amour, mais en ayant conscience que l'autre est, en principe, pleinement responsable de ses besoins.

Reconnaître ses propres besoins et leur priorité, pour reconnaître ce à quoi nous disons oui alors que nous prononçons non.

p.138 
Petite phrase : si je prends soin de l'autre en me négligeant moi-même, j'entretiens la négligence et non pas le soin.

p.140
Accueillir le non de l'autre

En tant que gentil : démission de nous-même dès que l'autre dit non pour nous soumettre à son attente, prendre le non comme un rejet ou un une attaque personnelle, et nous rebeller en contre-attaquant. Il y a fuite ou agression et non pas rencontre.

Trois notions clés :
L'intention : nous relier à ce qui habite l'autre (empathie) sans nous couper de ce qui nous habite nous (honnêteté ou franchise)
Le pied de paix : (un peu fumeux ou alors, j'ai rien compris, c'est fort possible, ndm) en gros quand même, répondre la violence par la violence, ce n'est pas spontané.
L'effet longue durée : en gros, Rome ne s'est pas faite en un jour et pour faire pousser des radis, il faut les entretenir et les arroser.

p.149
Petite phrase : De « je m'oppose donc j'existe » à « j'existe donc je vis avec »

Là, je décroche (mais le reste de l'explication du piège est intéressant, j'en ai juste marre d'écrire là-dessus)

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