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Il n’est pas quatre heures trente encore et je suis déjà levé. C’est tout de même malheureux d’avoir à subir une insomnie alors qu’il m’est si difficile de me lever à cinq heures tous les matins de la semaine. J’en profite pour réparer un tout petit peu les torts causés à mon journal, moi qui l’ai lâchement abandonné il y a déjà quelques temps. La dernière entrée qui ressemble à une entrée date du treize septembre. Je vais tenter de rattraper le temps perdu avec une entrée agenda. Jeudi quatorze : pendaison de crémaillère chez madame S. Bonne soirée mais je m’esquive relativement tôt car le lendemain, je dois me lever tôt. Vendredi quinze : mini journée de travail (trois heures, grâce aux trente cinq heures) L’après-midi, je retrouve madame 2S et monsieur 2M, nous chargeons le matos et nous rendons sur les lieux du concert, qui se trouve être un château, vraiment magnifique. Nous jouons dans une dépendance classée aux monuments historiques, c’est trop la classe. Bon petit concert. Je rentre chez moi vers quatre heures du matin. Samedi seize : je passe la journée à réinstaller le système d’exploitation, c’est insupportable. Le soir, je ne fais rien de spécial. Dimanche dix-sept : je finis de réinstaller et je glande (je me repose un peu) Lundi dix-huit : nouvelle semaine. Le cycle infernal recommence. J’exagère, ce n’est pas infernal du tout et s’il n’y avait pas ce trajet qui me bouffe deux heures par jours, ce serait vraiment une sinécure (et en même temps, j’apprends plein de choses) Mardi dix-neuf : formation. Petit tour au QG où je retrouve monsieur S, qui me donne des nouvelles du boulot. Celles provenant de la purge sont catastrophiques. Elle ne fait strictement rien avec les élèves, qui commencent à prendre leurs aises, quand ils viennent. C’est vraiment un scandale qu’elle soit prof celle-là. Mercredi vingt : formation. Je me couche toujours aussi tôt (vers vingt et une heures, vingt et une heures trente) je lis un peu et c’est tout. Jeudi vingt et un : idem Vendredi vingt-deux : idem, sauf que la journée de travail est réduite à trois heures. Le soir répétition. Samedi vingt-trois : madame E a décommandé la veille notre rendez-vous. Je suis un peu déçu. D’autant plus que je ne pourrais pas essayer le cockring vibrant. Du coup, je ne fais rien. Dimanche vingt-quatre : Rien à déclarer. Glande. Lundi vingt-cinq : nouvelle semaine de formation. Tôt levé, boulot, tôt couché. Mardi vingt-six : formation. Tour au QG (nouvelles de la purge toujours aussi lamentables) suivi d’un restau, cela faisait un bail que je n’y étais pas allé. Mercredi vingt-sept : formation. Coup de fil de BJ en début de soirée. Couché tôt. Et voilà. C’est un résumé succinct (cela dit, il était inutile que je m’étende car il n’y a pas grand-chose d’autres à dire)

Comments

[Manu]

RdT> Je viens dans ta région pour encore six semaines. Je vais finir par m'y attacher !

Pralinette> Ben ouais mais que veux-tu, c'était ça ou rien du tout.

Stefany> Eh oui, un prof. Un prof sans élèves puisqu'en formation.

[Stefany]

Hey nous avons donc affaire à un prof... qui utilise des choses vibrantes! Hum oui pourquoi pas,c' est sûrement pour ne pas s' endormir quand on a trop de copie à rediger! héhé!

[Pralinette]

Mouais, c'est un peu speed tout ça !

[RdT]

contente de prendre de tes nuvelles, Manu... tu viens quand par ici ?