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JAM
28 juillet 2006

1342

Petit exercice de mémoire, je vais essayer de me remémorer ce qui s’est passé depuis samedi, date de ma dernière entrée. Samedi, c’était le jour où je devais voir madame V. Celle-ci est arrivée chez moi en fin d’après-midi. Nous avons bu un thé, discuté un peu et nous sommes prodigués quelques caresses. Agréable le coup des caresses. Pas original, mais agréable. Puis, nous nous sommes rendus chez elle car c’est chez elle que nous devions passer la soirée et la nuit. Même pas une heure de route et nous y étions. Mauvaise surprise de retour de vacances, l’électricité était coupée, d’où séance de vidage et nettoyage du réfrigérateur et du congélateur. Nous nous sommes consolés de ce manque de chance en visitant son lit, sur lequel nous avons fait des galipettes. Après une douche rafraîchissante nous sommes sortis dîner. Nous avions repéré un petit restaurant au bord de l’eau. Hélas, point de place au bord de l’eau, la terrasse était prise d’assaut (un samedi soir, voilà qui est étonnant) Tant pis, nous nous sommes installés un peu plus loin, en remerciant la serveuse de nous accepter alors que le service était normalement terminé (les galipettes ont un peu duré dans le temps) Repas sans prétention mais bon, discussions à propos de tout et n’importe quoi, belle soirée. De retour, pause dans le jardin, le temps de siroter un ou deux whiskies et de profiter de la fraîcheur relative prodiguée par les efforts conjugués du soir et des chênes (encore que l’effort des chênes pour prodiguer de l’ombre quand la nuit est tombée depuis longtemps soit vain) D’un commun accord, nous sommes allés nous coucher. Avant de dormir, une longue séance de bête à deux dos, qui s’est terminée fort tard. Ensuite, le sommeil n’a pas été long à venir, malgré la chaleur. Si je considère l’heure à laquelle nous nous sommes endormis, le réveil a été plutôt matinal. La matinée était cependant bien entamée quand nous sommes sortis des bras de Morphée, ce gougnafier qui ne peut s’empêcher de s’immiscer dans tous les lits qu’il trouve. Afin de nous réveiller plus complètement et de charmante manière, nous nous attelons à quelques activités sexuelles que certaines morales rigides pourraient réprouver mais qui autrement sont largement admises. Les activités creusent aussi un petit déjeuner est-il le bienvenu. S’ensuit une petite promenade au cours de laquelle madame V me montre le superbe endroit où elle travaille. Nous revenons à temps pour l’heure de l’apéro (il n’y a pas d’heure pour) puis allons déjeuner. Il est fort tard mais nous avons la chance d’être encore une fois acceptés, bien que l’heure du service soit presque dépassé. Repas agréable, en terrasse, où il fait assez chaud mais pas trop. Petite promenade digestive dans un marché à thème. Un peu ambitieux quand on voit les trois ou quatre stands qui se battent en duel mais bon, c’est sympa quand même. De retour chez elle nous décidons d’une sieste, car la nuit a été courte et la fatigue se fait sentir. Le lit nous donne des idées coquines et nous les mettons immédiatement en application. Ensuite, madame V s’endort. Malgré la fatigue, le sommeil se refuse à moi je m’en vais profiter du jardin et de la terrasse. Au bout de quelques temps, je vais doucement réveiller madame V. Le dimanche s’achève et il est temps de repartir chez moi. Mais le week-end ne s’achève pas pour autant puisque madame V vient passer la nuit chez moi. Elle travaille le lendemain, ce qui nous obligera à nous lever tôt mais comme je dois moi aussi partir (mais pour la capitale de la France) cela ne me dérange pas. Nous nous préparons, reprenons la voiture (j’aime bien me faire conduire) et rentrons par des chemins champêtres et bucoliques (ils le seraient si nous n’étions pas en voiture en tout cas) Nous arrivons chez moi et prenons l’apéro car il est l’heure. Fatigués, nous passons une soirée tranquille à bavarder, non sans appuyer nos interventions par quelques attouchements et autres baisers. Je décide de tester ma nouvelle recette (donnée il y a quelques entrées) sur madame V. Comme je n’ai pas de saumon fumé, je le remplace par des écrevisses. C’est très bon aussi et madame V apprécie (ou alors elle est trop polie pour dire qu’elle n’aime pas) Nous nous couchons assez tôt et là, sexe. Si, si, même chez moi le lit incite au sexe. Ressorts qui grincent ou pas. Puis, épuisés par un éprouvant week-end, nous nous endormons, jusqu’au lendemain matin où je me réveille frais et dispo avant la sonnerie du réveil. Je me lève pour préparer le petit déjeuner (pas le temps de zizi pan-pan, il y urgence) Je réveille doucement madame V, qui n’a pas le réveil aussi frais et dispo que moi (il y a d’ailleurs assez peu de personne en ce monde pour qui le réveil est frais et dispo) Nous petit déjeunons, nous disons au revoir et la voilà partie. Bilan du week-end, j’ai passé un très bon moment. Je suis bluffé par l’excellente santé sexuelle dont je jouis, malgré l’âge qui avance et le manque d’entraînement. Tout un week-end sans une panne, sans un zizi usé et mou, j’en aurais presque la larme à l’œil. Bon d’accord, après une dépense d’énergie comme celle-ci, il me faut un long temps de récupération de libido mais tant qu’elle revient de temps en temps et au moment où j’ai besoin d’elle, c’est parfait.
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Commentaires
M
Rêve d'Eté> Je rigole bien sûr ! Je ne me suis jamais senti en forme qu'à 37 ans.
R
Non mais ho, ça va pas non ????? à 37 ans le début de la fin ???? Mais tu vas me ruiner le moral là... Em** a 37 ans !!!!!!!<br /> Allez allez, on se reprend, c'est dans la tête que ça marche, ou pas, c'est tout !!
M
Merci mesdames mais 37 ans, c'est le début de la fin. La panne guette à chaque coin du lit, le sgeg limace peut nous tomber dessus à chaque instant.
P
Ben oui à 37 ans on grimpe aux rideaux (même après hein !) pffff d'abord le sexe c'est le contraire des piles Wonder, ça s'use que si l'on ne s'en sert pas.
R
no mé ho !!!! à 37 ans... tu vas quand même pas nous faire le coup du mec qui a des pannes... m'enfin !!!!!!<br /> Bien sympa, n'empêche cette narration là...
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