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JAM
5 mars 2006

Une semaine très sexe *

Accaparé par mon travail depuis quelques jours, je n’ai pas trouvé un seul moment pour venir écrire. Mettons que j’exagère un tantinet et qu’en plus d’un manque de temps, un manque de motivation m’a détourné de mon journal. Contrairement aux ordinateurs, je ne suis pas multitâche. Je n’arrive à bien me consacrer qu’à une seule activité à la fois. Dans des conditions normales, la journée est suffisamment longue pour que je la partage en deux parties (je résume grossièrement) : travail et loisirs. Or, ces derniers temps, les retards que j’ai accumulés dans la première partie mais aussi l’intensification de la demande m’ont conduit à privilégier le travail sur les loisirs, réduits à peau de chagrin. Comme je range l’écriture dans ces derniers, voilà l’explication de mon abandon de poste aux commandes de mon journal, ainsi que ma désaffection du blog Ségolène2007, totalement abandonné, pour l’instant. L’excuse en béton donnée le paragraphe précédent servie, je peux enchaîner sur un petit retour sur les activités des derniers jours. Je reprends où je m’étais arrêté, c'est-à-dire jeudi. Jeudi : levé à cinq heures, travail, départ pour le boulot à sept heures trente, j’en suis reparti à presque vingt heures, conseil de classe oblige. J’arrive chez moi sur les rotules, mais me remets au travail. Couché vers vingt-trois heures, un peu de lecture et c’est marre. Vendredi : bien que théoriquement en week-end, je me lève péniblement vers sept heures, pour me rendre au lycée vers huit heures. J’en repars vers seize heures. Chez moi, je me mets au travail immédiatement, jusqu’à dix-neuf heures trente. Je prends un cyber apéro avec CA, avant de partir en répétition. Celle-ci se termine vers deux heures du matin. S., la charmante et délicieuse chanteuse de notre groupe et V., le non moins charmant et délicieux guitariste (notez que je suis nettement moins sensible à son charme qu’à celui de S.) viennent chez moi pour boire un thé. Ils repartent vers quatre heures trente. Je me couche immédiatement après, lis un peu et c’est tout. Samedi : réveil difficile aux alentours de neuf heures. Malgré le mal de crâne, j’ai beaucoup fumé la veille et peu dormi, je me mets immédiatement au travail, jusqu’à vers treize heures. Pause télévision jusqu’à vers seize heures puis travaille encore jusqu’à vers dix-huit heures trente, heure du cyber apéro virtuel. MSN un peu. S. et O. arrivent, nous prenons real apéro. Restaurant. Retour vers vingt-trois heures. Je n’insiste pas, vais me coucher. Un peu de lecture et basta. Il a neigé toute la journée. Pas un instant de répit. La neige fortement mouillée de l’après-midi a cédé la place à une neige plus légère, qui a fini par rester sur le sol. Le soir, il y en avait entre cinq et dix centimètres. Dimanche : levé vers huit heures, en assez bonne forme. La neige a cédé la place au soleil, il fait très beau. Je décide d’écrire un peu, avant de me remettre au travail. J’en ai encore pour quelques semaines à travailler à ce rythme. Je dois fermement tenir la barre pour ne pas me décourager trop vite. Pour celle qui s’annonce, je serai encore plus occupé que cette semaine, puisque je travaille en plus samedi, à l’occasion des indispensables journées portes ouvertes. Je m’en veux un peu de m’être engagé à participer, alors que normalement je n’y étais pas obligé mais bon, il faut parfois savoir fournir quelques efforts si le jeu en vaut la chandelle (nous avons terriblement besoin d’élèves) La seule inconnue de la semaine, c’est mardi. Je ne me suis pas encore décidé en ce qui concerne la grève. Les raisons me semblent tout à fait légitimes mais mon portefeuille s’en fout lui, il ne voit que le néant de mes ressources actuelles. * Rien ne vaut un titre accrocheur. En réalité, la semaine n'a été ni sexuelle, ni même auto-sexuelle.
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Commentaires
M
CA> Tout à fait exact ! Mais je suis ébahi de voir comment la situation a été retournée. J'écris dans mon entrée que TU as refusé mes avances et cela s'est transformé en JE refuse tes avances...<br /> <br /> Changi> C'est elle qui s'est refusée à moi. Voilà la vérité. Bon, dans la vraie vérité, il n'y a pas eu d'avances du tout.<br /> <br /> Sophie> Je reparlerai peut être de sexe un jour. Rien n'est perdu.
S
Bah voilà, moi qui m'attendait à du suspens ! Entre CA qui s'arrête au meilleur moment de l'action dans ses posts et toi qui met un titre racoleur pour qu'on lise, vous faîtes une belle paire !
C
Surtout quand on refuse les avances d'armoni. Je n'en reviens décidément pas
C
De toutes façons quand on travaille, on n'a plus de temps pour le sexe!
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