25 février 2006
Alleluia ! Elle est enfin là
La soirée de jeudi a été plus tranquille qu’elle n’aurait dû être. Sympathique, mais tranquille. C’est un peu le problème quand l’organisatrice oublie que les vacances scolaires éloignent les étudiantes loin de leur lieu d’études. Sinon, j’ai suivi le conseil de Lirriel et j’ai parlé aux jeunesses de vingt-cinq ans comme à des adultes et cela a fonctionné : elles ont compris ce que je leur disais et m’ont répondu normalement. J’étais bluffé.
L’escapade n’aura duré que vingt-quatre heures et je me suis retrouvé chez moi dès hier après-midi, en petite forme tout de même. Du coup, une sieste s’imposait, ce que je fis avec un art consommé. Le soir, répétition, très bien.
Ce matin, réveil avec les remords qui commencent à me travailler et cette rengaine qui me trotte dans la tête : « je n’ai pas travaillé, c’est mal. Je n’ai pas travaillé, c’est mal. Je n’ai pas travaillé, c’est mal. » Ce n’est pas pour autant que je m’y mets.
Alleluia, elle a enfin débarqué en France, la grippe aviaire. Depuis le temps que les médias priaient pour, ils doivent être bien soulagés. Au peu que j’ai pu voir, ils ont sorti le grand jeu. J’ai vu la France en état de siège. Elle est un peu conne la France parfois : confier à des poulets la protection de nos concitoyens en période de grippe aviaire, ce n’est pas bien futé. Un petit conseil, cessez d’enculer les poules, vous y risqueriez votre santé. Pour les mouches par contre, aucun problème. Voyons le bon côté des choses, avec un peu de chance, l’insipide dinde des kebabs sera peut être remplacée par du mouton. On a le droit de rêver.
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