Middle afternoon entry (orthographe non-garantie)

Voyons-voir. Mardi, QG, deux pintes. Puis Macdo. Mercredi, pizza. Jeudi, QG, deux pintes, puis Kebab. J’ai l’impression que je me relâche.

J’ai honte de l’avouer, mais Carrouf ne présente plus le même attrait pour moi qu’antan. Pire, je me surprends à détester y aller. Pourtant, rien n’a changé là-bas.

Les produits sont toujours présents en abondance. C’est bien simple, il suffit de se baisser pour les ramasser. Mieux, il n’est pas toujours obligatoire de se baisser, les trésors sont à portée de la main. Le seul travail, c’est de tendre la main, choisir parmi les milliers d’articles et les poser dans le chariot, gratuitement fourni par le magasin. Si ce n’est pas le bonheur, cela y ressemble.

Les clients sont toujours aussi laids. Je n’arrive pas à m’y faire. Comment cela se fait-il que je sois la seule et unique personne à fréquenter Carrouf qui ne soit ni laid ni bête ? (parce qu’en plus, ils sont bêtes) Je me suis souvent posé la question, mais je n’ai trouvé aucune réponse. C’est ainsi, Carrouf, le magasin des gens laids et bêtes et de Num beau et intelligent.

Je ne parle que du Carrouf de Troudecul (ma ville) Il est possible que d’autres Carroufs aient choisi une politique différente, celle de ne recevoir que des gens beaux et intelligents. Cela reste à prouver.

Ce qui n’est pas à prouver, c’est que je n’ai plus rien. Ni nourriture, ni produits d’entretien. Le pire, je m’en fiche.

Passons.

Le pape va mourir. Si, si, il est au plus mal. Ce qui me peine, c’est que l’on ne pourra plus chanter avec les * : Jean-Paul deux, Jean Paul deux, Jean-Paul deux d’mes deux.

·    Impossible de me souvenir du nom du groupe de punk qui chantait cette superbe chanson.

Passons.

Ce soir, j’ai répétition et je n’ai pas envie d’y aller. Je tiens bon jusqu’à fin avril et après j’aviserai. J’ai eu un petit regain d’intérêt ces dernières semaines mais c’est terminé. Ce qui m’embête un peu, c’est de laisser tomber alors que l’album va sortir incessamment sous peu (maximum un an) J’aurais pu en vendre à mes lectrices et me faire un max de pognon… Bon, cela mérite réflexion.

Passons.

Libido à zéro le retour.

Passons.

J’aime bien « Passons » qui me change de « Je coqàlâne » que le correcteur orthographique s’obstine à ne pas reconnaître, alors que je l’utilise depuis au moins deux ans. Je m’avoue vaincu et passe à « Passons » Je ne suis pas de taille à lutter contre la machine.

P.S. : je ne suis pas l’auteur de la fausse manipulation qui a conduis à la panne de la RDJ. J’ai essayé de réparer mais rien à faire, ça veut pas.

Comments

[Pralinette]

Holà un p'tit coup de fatigue mon cher Manu ?