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JAM
16 octobre 2008

1536 : matinal un jour, matinal toujours

Après une matinée sans histoire, un repas à la cantine où nous nous sommes retrouvés à deux, le mercredi est définitivement un jour spécial, retour à l’appartement.

Hier, j’étais content de m’être levé avant l’aube parce que la fatigue engendrée par un réveil bien matinal laissait entrevoir une sieste d’avant répétition facile. Trop occupé que j’étais à glander, je n’ai pas eu le temps de la faire. Entre le travail et mes errances sur la toile, les heures et les minutes ont trop vite défilé. Non, rien de rien, je ne regrette rien, l’après-midi a été riche et notamment grâce à un dialogue par messagerie qui a viré à la conversation téléphonique et qui se sont conclus par une promesse de rencontre, dont j’avais envie depuis longtemps déjà. Je vais enfin voir de visu mademoiselle C. avec qui j’échange des mails depuis maintenant quelques mois, avec il est vrai de longues périodes de silence mais que je retrouve toujours avec plaisir.

J’ai dû raccrocher pour partir en répétition. Comme je suis le gardien des clés, il n’aurait pas fallu que je sois en retard. Tout le monde n’était pas là et malgré tout, nous avons bien travaillé. Nous accouchons toujours les nouveaux morceaux dans la douleur mais là, c’est plutôt bien passé. Pour le moment car il faudra voir ce que cela donne quand le groupe sera réuni. L’objectif étant de les jouer le plus rapidement possible, le mieux étant dès le prochain concert. Notre bar était vide aussi la répétition a été sobre et l’ambiance presque studieuse. C’est sûr que de répéter en milieu de semaine aide à ne pas faire trop d’excès et à rester raisonnable. Non seulement nous avons respecté notre foie mais en plus nous ne nous sommes pas attardés et j’ai pu rentrer avant que mon carrosse ne se transforme en citrouille.

Aussitôt couché, j’ai repris le livre en cours. A une heure du matin, content de ne pas avoir à me lever avant huit heures, j’éteignais les feux.

Manque de pot, je me suis réveillé à cinq heures trente, en pleine forme. J’ai bien essayé de me rendormir, pendant près d’une demi-heure, sans succès. Rien à faire, je suis du matin. Aussi à six heures me suis-je levé, content quand même, car disposant de plein de temps pour écrire.

Au programme du jour, mes dernières heures de cours, jusqu’à midi et ensuite après-midi libre de toute obligation. Ce soir, monsieur F. vient me rendre visite pour me débaucher. En fait, je crois qu’il a bien envie de faire la fête et je crains que la soirée ne s’étire tard dans la nuit et que toute idée de respect envers notre foie soit de l’histoire ancienne.

Demain soir, après la corvée annuelle que constitue la réunion parents – professeurs, je dois sortir avec madame S., mesdemoiselles E. et N. et peut-être d’autres au restaurant pour finir la soirée je ne sais où, peut-être les amener danser. Le programme n’est pas encore bien défini.

Samedi, comme je l’écrivais plus haut, je dois rencontrer mademoiselle C.

Dimanche, je me reposerai sûrement, histoire d’attaquer la dernière semaine avant les vacances en de bonnes conditions. Heureusement, je crois qu’aucune réunion n’est prévue.

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